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Les soins palliatifs représentent une importante part d'activité des établissements d'hospitalisation à domicile. Ils sont, de ce fait, pleinement investis dans le développement du plan national des soins palliatifs et de l'accompagnement en fin de vie. Une participation qui se déploie notamment autour de la formation et de la mobilisation. "La plus grande unité de soins palliatifs (USP) de France, c'est l'HAD", lance Vincent Morel, président du comité de pilotage du plan national 2015-2018 pour le développement des soins palliatifs et de l'accompagnement en fin de vie. Il était invité par la Fédération nationale des établissements d'hospitalisation à domicile (Fnehad) a éclairer la place de l'HAD dans ce plan lors de la Paris Healthcare Week. Les soins palliatifs sont l'un des principaux modes de prise en charge dans l'activité d'HAD, puisqu'un patient sur trois en relève. "En proportion, l'activité se traduit à la baisse. Mais, ce que nous qualifions de soins palliatifs n'est pas toujours le reflet de l'activité", précise Élisabeth Hubert, la présidente de la Fnehad, qui avance la démarche palliative et des questions de codage tarifaire comme explication. En raison de cette activité importante de l'HAD en soins palliatifs à domicile ou en hébergement médico-social, elle est pleinement intéressée par les quatre axes du plan national. "L'HAD est concernée directement ou indirectement par toutes les actions du plan", assure Vincent Morel. La campagne de communication du ministère sur la fin de vie, au cœur du premier axe sur l'information des patients, étant une réussite, il souhaite la réitérer. Les professionnels de santé sont au premier plan pour porter l'information sur les directives anticipées ou la personne de confiance, notamment lorsqu'ils interviennent à domicile. Former et être formé La forte part d'activité en soins palliatifs induit, aux yeux de Vincent Morel, une formation spécifique des professionnels, le deuxième axe du plan. Mais, les structures doivent également être des centres de formation. "Dans la réforme du troisième cycle, je propose un stage mixte en USP et en HAD des internes", indique-t-il. La formation des futurs médecins généralistes dans ce cadre favorisera ainsi les futures coopérations. Le président du comité de pilotage veut également développer la recherche en ambulatoire, sans oublier la diffusion des bonnes pratiques. "Soyons simples et pragmatiques", résume-t-il en proposant un appel effectif du médecin traitant lors du retour à domicile du patient. Le quatrième axe du plan est celui de la déclinaison régionale. Une déclinaison qui se finance seulement en fonction d'une politique globale, et non par ligne comme c'est le cas traditionnellement dans les plans nationaux. Le troisième axe du plan, à savoir le développement des prises en charge de proximité, touche évidemment l'activité de l'HAD. Plutôt que de se concentrer sur un objectif chiffré, Vincent Morel met l'accent sur la mobilisation des ressources humaines. Des leviers tarifaires sont également évoqués, autour de la prise en charge de patients avec une maladie neurodégénérative en situation de grande dépendance notamment ou sur la levée des restrictions de la coopération entre HAD et services de soins infirmiers à domicile (Ssiad). "Si cet acte technique n'est pas effectué, je considérerai que le plan est un échec", explique Vincent Morel. "Un obstacle d'un autre temps" pour Élisabeth Hubert. La présidente de la Fnehad regrette que des "guerres de tranchées" persistent en certains endroits. Elle évoque le besoin de poursuivre le travail de communication sur les activités de l'HAD, notamment sur sa capacité à assurer des prises en charge complexes pour permettre de vivre sa fin de vie à domicile. "Nous avons démontré que nous pouvions déployer des soins de nature hospitalière à domicile mais nous avons encore trop de demandes tardives de prise en charge de patients qui sont soit décédés, soit dans un état trop grave pour être [accompagnés]", explique-t-elle. Cette problématique constitue, à son sens, une "marge à conquérir". Jérôme Robillard http://abonnes.hospimedia.fr/articles/20170517-paris-healthcare-week-2017-l-activite-had-se?utm_campaign=EDITION_QUOTIDIENNE&utm_medium=Email&utm_source=ExactTarget
HAD, SSIAD, SPASAD... Qu'est ce qui se cache derrière ces sigles ? Pendant 3 jours, des experts vous conseillent sur ces modes de prise en charge de plus en plus courants et les solutions qui favorisent le maintien à domicile d'un proche malade ou en perte d'autonomie.
http://www.salon-services-personne.com/visiteurs/village-sante-soins.php
Cette année, la Paris Healthcare Week se tiendra du 16 au 28 mai à Paris, Porte de Versailles. Cet événement qui a rassemblé plus de 25 000 visiteurs pour sa précédente édition, est aujourd'hui un rendez-vous incontournable des professionnels et acteurs de santé. La FNEHAD organise, à cette occasion, la deuxième édition de la journée de l'hospitalisation à domicile, le 17 mai prochain. Nous vous invitons à venir nombreux à cette journée pour participer aux diverses agoras et animations qui seront organisées. L'inscription est gratuite mais obligatoire.
https://www.fnehad.fr/2017/04/14/17-mai-journee-de-lhospitalisation-a-domicile/
L'EEHU collabore à un projet de recherche intitulé "L'hôpital comme milieu de vie". Le projet est porté par le LACHT (Le Laboratoire Conception - Histoire - Territoire) de l'ENSAPL (Ecole Nationale Supérieure d'Architecture et de Paysage de Lille) et dirigé par Catherine Grout, professeure d'esthétique et chercheuse au LACHT. Le LAVUE (Laboratoire architecture ville urbaine) y participe également. Dans ce cadre, l'EEHU a organisé une première séance de séminaire le mardi 15 mars 2016 intitulée "Maintenir l'hospitalité, de l'hôpital au domicile, dans une situation de grande vulnérabilité". Une seconde séance sur le même thème va être organisée le 9 mai 2017 de 14h à 17h Durant ces séances, des professionnels de santé partagent leurs témoignages, leurs vécus de cet espace de soins, mais aussi, le vécu des équipes, des patients et de leurs proches. Objectif de la séance : identifier les liens entre espace éprouvé et relations (au sein de l'équipe, avec les patients, avec l'institution...). Méthode : Partir du sentir l'espace pour penser et repenser l'espace. Le croisement des notions d'hospitalité et de vulnérabilité nous renvoie aux raisons d'agir et aux capacités d'agir pour tous les acteurs concernés par l'hôpital. L'hospitalité s'entend comme notion ouverte d'accueil et de souci de l'autre, la vulnérabilité renvoie au besoin d'être soigné, de remédier à une souffrance, de pouvoir se réinscrire dans son corps et dans le corps social. L'hôpital est considéré comme un milieu à la fois depuis et avec les personnes qui l'occupent (les professionnels de santé, les patients, les accompagnants): un milieu de soins, de travail et de vie - milieu qui s'inscrit dans une continuité de l'hôpital au domicile.
http://www.eehu-lille.fr/thematiques/dossiers-thematiques/seminaire-eehu-lacht/
En 2016, les labels et concours «Droits des usagers » organisés par le Ministère des Affaires sociales et de la Santé, sont reconduits, indique la Fédération hospitalière de France (FHF), compte tenu du succès de la démarche qui est très fortement relayée au plan régional avec l'appui des agences régionales de santé (ARS) et des commissions spécialisées « droits des usagers » des conférences régionales de la santé et de l'autonomie (CRSA). L'instruction et le cahier des charges 2016 intègrent de nouvelles orientations comme celle de la promotion des droits des usagers dans le parcours de santé en s'appuyant notamment sur les rapports de la commission droits des usagers de la Conférence nationale de santé (CNS). Ils seront diffusés cette année pour la première fois aux directeurs régionaux de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale (DRJSCS), actant ainsi l'élargissement au secteur médico-social et social.
http://www.santementale.fr/actualites/concourez-au-label-et-concours-droits-de-usagers.html
En partenariat avec la Fédération mandataires et l'Assemblée des départements de France, la Fédération des particuliers employeurs de France (Fepem) organise, ce 22 février au Sénat, un après-midi sur le thème "Bien vieillir à domicile, perspectives individuelles et enjeux collectifs". L'ambition de cet événement est de : promouvoir les résultats de la convention 2013-2016 qui a engagé la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) et la Fepem, en partenariat avec la Fédération mandataires et Iperia l'institut ; valoriser le "mode mandataire" dans l'accompagnement à domicile, mode privilégié pour sécuriser et faciliter l'emploi entre particuliers ; placer le mode mandataire au cœur des enjeux d'information et d'accompagnement des personnes âgées ou fragiles, de la prévention et de la prise en charge à domicile de la perte d'autonomie, de la maladie et du handicap. • Le 22 février 2017 • Palais du Luxembourg 26 rue de Vaugirard 75006
http://www.fepem.fr/22-fevrier-palais-luxembourg-bien-vieillir-a-domicile-perspectives-individuelles-enjeux-collectifs/
Le collectif Patients, chroniques & associés (Ica) vient de publier un nouveau guide à destination des personnes malades chroniques et de leurs aidants. Ce dernier se veut un recueil d'informations et de sensibilisation des patients à leurs parcours de santé. Un moyen selon Muriel Londres, coordinatrice du collectif Ica, de mieux se retrouver dans le système de santé, mais aussi de mettre en valeur l'expertise et les droits des personnes, pour qu'elles en fassent usage. Télécharger le guide sur:
http://www.seronet.info/article/quand-les-patients-sont-informes-sur-leurs-droits-ils-sen-saisissent-77765 /
Organisé avec des intervenants et chercheurs québécois sur la pratique d'intervention et de prévention de l'épuisement à destination des proches ayant dans leur entourage une personne en situation de vulnérabilité, le colloque se tiendra les 2 et 3 mars 2017 au Palais des Congrés à Saint Malo. Les objectifs principaux de cette rencontre : Mettre en lumière des approches et des services novateurs développés par des chercheurs et des intervenants travaillant avec des proches aidants au Québec. Échanges et transfert de connaissance entre le Québec et la France en matière de proche aidance. Création de liens et de collaboration ultérieure France/Québec
http://www.aidants.fr/actualites/colloque-franco-quebecois-sur-proche-aidance/
DE L'INTERVENTION AU DOMICILE À L'ACCOMPAGNEMENT DE “L'ÊTRE CHEZ SOI”? 13, 14 et 15 JUIN 2017 L'ATRIA NÎMES Au cours des dernières décennies, l'évolution des demandes et des besoins, mais également l'impulsion forte des politiques publiques, ont institué le domicile comme le lieu privilégié de l'intervention sociale. Ainsi s'est progressivement structurée une offre de services très variée : Services d'Accompagnement à la Vie Sociale, Services d'Accompagnement Médico-Social pour Adultes Handicapés, Services d'Aide et d'Accompagnement à Domicile, Services de Soins Infirmiers à Domicile, Hospitalisation à Domicile ... Autant de nomenclatures et de missions diverses qui viennent signifier la complexité et les enjeux autour du domicile. Parler du domicile, c'est parler à la fois de maison, d'appartement, de logement, de lieu de vie, d'habitat, d'abri, de nid, de refuge, de chez soi ... Des termes qui semblent décrire une réalité des plus banales, celle d'occuper un espace. Pourtant face à ce champ lexical au sein duquel chaque mot semble être synonyme, l'habiter recouvre des significations singulières où se croisent une dimension matérielle (l'édifice lui même), une dimension psychique ( l'abri, refuge, l'idée de protection ) et pour finir une dimension sociale ( apportant une reconnaissance au sein de la société ). Comme le souligne le sociologue Bonetti ( 1994 ) ʺ tout individu est confronté à une multitude d'espaces, ayant chacun des fonctions et des significations particulières ˮ. Dès lors, chacun de nous est situé à l'intersection de ces espaces qu'il faut parvenir à articuler et faire tenir ensemble en essayant le plus possible de ne pas ʺ se cogner ˮ ( Pérec 1974 ). Des espaces où le travail s'effectue à l'abri des regards, dans une forme de colloque singulier où la confiance tient une place importante. Un travail caché donc, dans un contexte qui, pourtant, réclame d'être évalué. Les personnes que nous accompagnons accueillent chez elles des infirmiers, des travailleurs sociaux, des auxiliaires de vie, des mandataires judiciaires, des kinésithérapeutes et bien d'autres ... Le domicile, creuset du travail pluridisciplinaire, est le lieu de rencontre de multiples professionnels aux missions différentes qui se croisent sur le seuil, frontière en pointillés avec l'extérieur. Cette riche pluridisciplinarité génère du trouble pour nombreux acteurs et personnes suivies : ʺ Vous êtes comme les services à domicile, que faîtes-vous ici si ce n'est pas pour le ménage ou le repas ? Ce monsieur a déjà une auxiliaire de vie, à quoi sert l'éducateur... ? ˮ Trouble également pour les observateurs extérieurs : comment rendre compte de ce travail, le rendre lisible et appréhendable, tout en tenant compte de l'évolution des modalités d'habitat ( pension de famille, collocation ) ? En quoi la difficulté à faire cohabiter nos spécificités et construire de la cohérence vient-elle influencer l'accompagnement aujourd'hui ? Au-delà de l'accès à ou du maintien dans, au-delà de l'intervention, il nous semble fondamental d'interroger ce que peut être la notion d'accompagnement au domicile ; ce que peut signifier la rencontre dans cet espace privé ou vers la construction d'un espace intime, l'affirmation d'une singularité et l'acceptation de soi pour aller vers l'autre. Car l'accompagnement au domicile ne vise-t-il pas in fine à l'insertion sociale?
Publié le 30/01/17 - 17h46 - HOSPIMEDIA L'Union nationale des associations agréées d'usagers du système de santé sera l'interlocuteur privilégié des pouvoirs publics, comme en attestent les missions qui lui sont confiées par décret. Son organisation sera classique, avec une assemblée générale et un conseil d'administration, et reposera sur le principe d'une voix par association. Créée par l'article 1er de la loi de modernisation de notre système de santé, l'Union nationale des associations agréées d'usagers du système de santé (Unaass) prend forme grâce à un décret paru dans l'édition du 26 janvier du Journal officiel. Ce texte détaille les quatre missions qui sont confiées à cette nouvelle instance représentative des usagers ainsi que son fonctionnement. L'Unaass dispose ainsi d'un siège national et de délégations territoriales, à savoir les unions régionales des associations agréées du système de santé. Ces dernières sont autorisées à créer des antennes locales "lorsque les spécificités territoriales le justifient". Une charte des valeurs sera rédigée Les associations agréées peuvent adhérer "librement" à l'Unaass. La participation de celles qui ne sont pas agréées dépendra des statuts et du règlement intérieur qui seront adoptés ultérieurement. Une assemblée générale regroupe l'ensemble des associations agréées. Elles sont 146 — et 358 au niveau régional — selon une question de la députée Christine Pires-Beaune (SER, Puy-de-Dôme) posée le 1er novembre. Cette assemblée générale fonctionnera sur le principe d'une voix par association. Elle est chargée de désigner un conseil d'administration, qui élira le bureau. Ces mêmes principes régissent les unions régionales. Le président de l'Unaass procède à la désignation d'un directeur général — après avis du bureau — dont le rôle sera précisé par les futurs statuts de l'Unaass. Quant au conseil d'administration, il préparera le budget annuel et la stratégie d'animation du réseau qu'il proposera à l'assemblée générale. Cette dernière adoptera par ailleurs la charte des valeurs de l'Unaass, qu'un comité de déontologie rédigera. Les missions L'Unaass a vocation à être l'interlocuteur des pouvoirs publics, conformément aux missions qui lui sont confiées par ce décret. Tout d'abord, elle est habilitée à proposer des représentants d'usagers "auprès des conseils, assemblées et organismes pour lesquels il est fixé réglementairement en leur sein une représentation". Les unions régionales le sont également pour "les instances hospitalières et de santé publique au niveau régional et départemental". Le décret prévoit que les statuts et le règlement de l'Unaass définissent la procédure et la charte du représentant. La principale mission de l'union nationale est de rendre des avis sur la politique nationale de santé ainsi que d'élaborer des propositions. Cette mission est du ressort du conseil d'administration ou, dans le cadre de la procédure d'urgence, elle incombe au bureau. Les unions régionales ont le même rôle auprès des directeurs généraux des ARS. L'autre principal axe de travail de l'Unaass est d'animer le réseau grâce à une stratégie d'animation. Cette animation prend notamment la forme de soutien ou de documentation fournies aux associations membres. Un volet d'information au grand public et d'organisation de débats entre aussi dans ses prérogatives. La formation des représentants des associations adhérentes et de ceux qui composent les délégations territoriales est également assurée par l'Unaass. Enfin, la dernière mission confiée à l'union nationale touche à la justice. Outre la possibilité de mener des actions de groupes, elle assure "une mission de soutien et d'expertise juridique" au sein de son réseau.
Le 26 janvier dernier, la FNEHAD a été primée lors du Festival de la Communication Santé, dans la catégorie « Santé publique », pour sa campagne « Hospitalisé chez soi. Regards croisés sur l'hospitalisation à domicile ». Réalisée à l'occasion de la Paris Healthcare Week 2016, la FNEHAD, à travers six portraits de patients, d'aidants et de professionnels de santé, a souhaité donner la parole aux acteurs de l'hospitalisation à domicile, qui la vivent et la rendent possible au quotidien en fixant un instant, mais également en transmettant leur histoire. Au-delà des soins prodigués aux patients, des liens se créent entre la personne soignée, son entourage et les différents intervenants de l'hospitalisation à domicile. Ce sont ces histoires de vie, ces témoignages que la FNEHAD a souhaité retranscrire et partager.
04/02/2016 INSTITUTIONS COUR DES COMPTES La Cour des comptes rend public, le 4 février 2016, un rapport intitulé « Relations aux usagers et modernisation de l'État : vers une généralisation des services publics numériques », demandé par le Comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques de l'Assemblée nationale en application de l'article 132-5 du code des juridictions financières. D'une part, les services publics numériques ne semblent pas jouer un rôle moteur dans la modernisation de l'État et de sa relation avec les usagers, lesquels ne font pas du numérique leur mode d'accès privilégié, même lorsque l'offre existe. D'autre part, l'administration n'a pas tiré toutes les leçons ni tous les bénéfices du développement des services en ligne : l'organisation des services n'a pas été réformée en profondeur et les gains de productivité restent en deçà de leur potentiel. La Cour estime néanmoins que les conditions sont réunies pour faire des services publics numériques un véritable levier de transformation de l'État, et du numérique le mode d'accès de droit commun aux démarches administratives, dans le cadre d'une démarche progressive et adaptée aux publics. La Cour formule 15 recommandations pour permettre au citoyen d'accéder à tous les services publics sur une plateforme unique, avec un seul identifiant, prendre ses rendez-vous en ligne, remplir et transmettre ses formulaires, suivre ses dossiers, procéder à des télépaiements. La réussite de cette modernisation suppose d'assurer convenablement l'accompagnement des usagers et d'accroître la confiance dans les services numériques par des mesures de sécurité suffisantes.
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